Ce qu’on en dit

Vous retrouverez ici les critiques et articles sur le cycle Le soleil des hommes !

 

Nuit de cendres

Site de Catherine Loiseau

J’ai eu la chance de découvrir ce roman en avant-première, vu que je suis l’une des marraines de ce tome au sein du collectif Hydralune.

Franchement, dès les premières pages, j’ai eu un gros coup de cœur pour cette histoire, et ce pour plusieurs raisons.

D’abord, le style est exceptionnel : à la fois très travaillé et très fluide. Les descriptions sont époustouflantes, les scènes d’actions magnifiques, bref, un style très ciselé qui ne laisse absolument rien au hasard.

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Le blog La Magie des Mots

J’ai découvert Julie Limoges grâce aux nouvelles qu’elle a publié dans plusieurs numéros de la revue Etherval. Sa plume m’a tout de suite accrochée. C’est donc sans hésitation que je me suis plongée dans le premier volume de sa trilogie « Le Soleil des Hommes ».

A l’heure où je rédige cette chronique, plusieurs mois se sont écoulés depuis ma lecture de « Une nuit de cendres ». Les détails du récit se sont envolés, mais je me souviens avec netteté de mes sentiments lorsque je tournais les pages numériques de ce livre.
Comme le présente si bien le quart de couverture, il y a de l’action. Beaucoup. Mais ne vous attendez pas pour autant à un récit guerrier sans morale ni saveur.

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Le blog Le Troll, l’Ombre et le Robot

Nuit de cendres, tome I du cycle Le soleil des hommes, est une épopée qui se déroule dans un univers que la lumière a déserté. Difficile d’ailleurs de situer l’espace-temps de ce récit : les références médiévales sont nombreuses (des troubadours, des malandrins, un monde organisé ou réorganisé en duchés…), mais références mêlées à des figures tirées du bestiaire fantastique ( les goules ), l’ensemble s’inscrivant clairement dans une veine d’heroïc fantasy. Voilà pour le cadre.

L’action : Akhyla et sa petite troupe de mercenaires doivent dérober un mystérieux objet, une sphère couleur bronze, dans la statue du dieu de Pranak. Celle-ci se trouve dans une auberge aux abords poisseux, bondée de Multins, de monstres et de soudards. Dans cet univers assez glauque, il pleut, beaucoup, ça pue jusqu’à la nausée, et ça cogne fort très vite.

Les Multins, dites-vous ? Les hommes sont pris en tenaille entre ces derniers qui viennent du nord, créatures difformes et peu commodes, ennemies des humains, et les morts-vivants, au sud. Le roman déroule avec vigueur cette équation de géographie survivaliste. Dans ce monde disloqué et éteint, les hordes et les espèces se croisent, cohabitent au gré des circonstances, et se font la guerre. On n’est parfois pas loin d’une ambiance far-west, avec bagarres au zinc revisitées. La noirceur du récit est relevée par les nombreux moments d’action purs et durs, et le style parfois parlé et direct de l’autrice, y compris hors-dialogue. Ce qui donne au texte sa tonalité assez singulière, toujours cohérente.

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Le blog Les sortilèges des mots

Je vous rassure. Ce roman possède une écriture addictive et puissante qui s’adapte à chaque situation et personnage. Rien que pour ça il faut le lire. D’autant plus si vous connaissez les codes de la fantasy, vous serez dépaysé tant l’autrice s’amuse à ne pas les utiliser à part un peut-être et encore. Ce qui est le plus dépaysant est le fait que pour une fois les personnages centraux ne font pas parti intégrante de la quête ou du but de l’histoire. Au contraire, ils vont se retrouver face à une guerre plus tôt que prévu.

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Le blog L’imaginaerum de Symphonie

L’univers est le premier bon point de ce premier tome, entre autres parce qu’on ne sait pas grand chose sur ce qui est arrivé. Un cataclysme aurait en effet apporté une nuit éternelle au monde. De quelle nature ? Pourquoi ? Comment ? Châtiment divin ou excès d’orgueil des humains ? Et puis ce monde, c’est un monde inventé, ou bien une version sombre de notre futur ? En attendant d’en savoir plus, c’est toujours sympa de spéculer^^
Ce monde, donc, partage des traits de la Dark Fantasy et de la Science-fiction. Ce qu’il reste de l’humanité se retrouve coincée entre des non-morts et des Multins, créatures qui me fascinent par leur variété mais dont je m’interroge sur la nature. Bien que la nuit soit sans fin, certaines technologies fonctionnent encore, comme l’électricité.
C’est aussi un monde crasseux, sombre, sans espoir, où chaque allée, chaque caillou peut receler un aller simple vers la tombe. Et quand en plus l’autrice semble adorer torturer ses personnages, eh bien ça donne des rencontres plutôt épiques^^ D’ailleurs… On est dans de la Dark. Ne filez pas ce livre à votre petit cousin de 10 ans… Sa santé mentale vous remerciera^^

Les personnages

Un autre des aspects que j’ai beaucoup apprécié : le livre propose aussi bien le point de vue des « gentils » que des « méchants ».

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Julie Limoges parvient très bien à nous rendre l’aspect crasseux de son univers, les dialogues sont nerveux et réalistes, et ses scènes d’action sont à la fois claires et prenantes, sans être trop présentes.

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Le blog Les Pipelettes en parlent

Il m’aura fallu un peu de temps pour pénétrer entièrement dans ce récit, mais après le premier chapitre, impossible de le lâcher. Nuit de cendres est un récit d’aventure sombre, violent, sanglant et mystérieux.

Dès les premiers paragraphes, j’ai été plongée dans l’obscurité et la boue aux côtés des personnages. Les descriptions précises de Julie Limoges sont si bien faites qu’il est possible de se faire une représentation du physique des héros, de leurs vêtements, de leur odeur ainsi que des lieux qu’ils traversent. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant : le vocabulaire est riche, la mise en scène est étonnante avec de l’action et des scènes politiques, en passant par la vie des personnages et leur relations dans ce monde post-apocalyptique.

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Jusqu’au ciel

Le blog La Magie des Mots

J’attendais ce second tome du Soleil des hommes depuis plusieurs mois, mais mon impatience s’est nettement amplifiée après avoir rédigé ma chronique sur le premier volet: Nuit de cendres. J’ai donc profité de mes vacances à l’étranger pour dévorer Jusqu’au ciel.

L’histoire reprend là où elle s’était arrêtée. Notre groupe de mercenaire est scindé et chaque duo tente de s’en sortir comme il peut. On suit plus particulièrement Ekam et Akhyla, qui subissent gros pour rejoindre un lieu sûr. L’atmosphère de cette première partie est très bien rendue : on se traîne avec eux dans la boue, on a faim, on a froid, on tremble de fatigue avec eux et on s’enlise dans les sombres pensées d’Akhy. Ce personnage, on l’aime autant qu’on le déteste. On a envie de le cogner pour sa lâcheté et puis… et puis ce petit con arrive toujours à nous surprendre et à nous faire palpiter pour sa survie.

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Le blog L’imaginaerum de Symphonie

L’univers est sensiblement le même que dans le premier tome, toujours aussi crasseux, dangereux et désespéré, même s’il est pas mal question de chaleur et de lumière, surtout vers la fin. A noter quand même de nouveaux paysages bien intéressants (mention spéciale au labyrinthe de pierres et à Cress). Et pour nous rappeler qu’on n’est pas dans le pays des papillons, quelques scènes bien glauques et suintantes comme on les aime (pour rappel : pas de tartines pendant la lecture !).
Si nous avions fait la connaissance des Humains et des Multins dans le tome 1, nous rencontrons cette fois la troisième faction (non, non, pas l’Ordre… Ce serait même plutôt le contraire) et certaines conséquences de leur passage.

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Et en même temps, je ne pense pas que l’autrice aurait pu faire autrement, d’autant que cette première partie rehausse le caractère flamboyant de la seconde, emplie d’une tension qui fonctionne parfaitement, avec des moments d’action cinématographiques. C’est bien simple, à partir de la moitié, on tourne les pages sans s’en rendre compte, en pestant de ne pas avoir la suite.

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Le blog Les sortilèges des mots

En bref, ce deuxième tome est meilleur que le premier déjà très bon. J’espère bien que le prochain sera encore meilleur en épargnant notre cher akhyla, je l’espère.

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